Bonjour à tous,

Dans le cadre de mon défi bien-être, je vous ai très rapidement parlé de la notion de “Flow” concept pouvant être rattaché à la Psychologie positive. En effet, l’activité choisie pour réaliser mon défi est le dessin et ce n’est pas un hasard car il s’agit d’une activité que je pratique pour le plaisir et pendant laquelle j’ai effectivement éprouvé cette sensation de “Flow“.

Je vous propose d’en savoir plus sur cet état psychologique optimal grâce à ce qui va suivre.

En psychologie positive, le concept de Flow  (flux en anglais) a été élaboré par Mihàly Csikszentmihalyi.
Mihàly Csikszentmihalyi a entrepris des recherches sur le sujet après avoir été fasciné par les artistes qui « se perdent » dans leur travail, étant tellement plongés dans leur activité qu’ils peuvent ne pas tenir compte de leur besoin de nourriture, d’eau et de sommeil.
peintre de rue face a une fresque flow
Photo de Rosie Kerr via unsplash
Depuis 1975 Csikszentmihalyi a interrogé des alpinistes, des joueurs d’échec, des compositeurs de musique et bien d’autres personnes qui consacrent beaucoup de temps et d’énergie à des activités pour le simple plaisir de les faire sans recherche de gratifications conventionnelles comme l’argent ou la reconnaissance sociale. Les résultats de ces recherches lui ont permis de définir le concept de l’expérience optimale, qu’il appelle Flow (Csikszentmihalyi, 1990), et qui réfère à l’état subjectif de se sentir bien (Csikszentmihalyi & Patton, 1997).

 

photo de Samuel Castro via unsplash
Le Flow peut être ressenti dans divers domaines tels l’art, l’enseignement, le sport… Il se manifeste souvent quand il y a perception d’un équilibre entre ses compétences personnelles et la demande de la tâche (Csikszentmihalyi, 1975).

 

 

« Voilà ce que nous entendons par expérience optimale. C’est ce que ressent le navigateur quand le vent fouette son visage… C’est le sentiment d’un parent au premier sourire de son enfant. Pareilles expériences intenses ne surviennent pas seulement lorsque les conditions externes sont favorables. Des survivants de camp de concentration se rappellent avoir vécu de riches et intenses expériences intérieures en réaction à des évènements aussi simples que le chant d’un oiseau […]. Ces grands moments de la vie surviennent quand le corps ou l’esprit sont utilisés jusqu’à leurs limites dans un effort volontaire en vue de réaliser quelque chose de difficile et d’important. L’expérience optimale est donc quelque chose que l’on peut provoquer… Pour chacun, il y a des milliers de possibilités ou de défis susceptibles de favoriser le développement de soi (par l’expérience optimale). »
(Csikszentmihalyi, 2004, p24).

Nous allons dans un premier temps, voir les caractéristiques du Flow (comment reconnaître cet état). Puis les conditions de son apparition (les circonstances supposés conduire au Flow) et enfin les applications possible de cet “état de grâce” dans différentes activités.

 

◊ Les caractéristiques du Flow

Le Flow est un état de motivation et d’immersion totale dans la tâche à accomplir.
Csíkszentmihályi et Jeanne Nakamura (2009) ont identifié six composantes ou caractéristiques de l’expérience de flux :
  1. un état maximal de concentration : cette concentration intense est focalisée sur le moment présent.
  2. disparition de la distance entre le sujet et l’objet
  3. une perte de conscience de soi
  4. une sensation de contrôle et de puissance sur l’activité ou la situation
  5. une distorsion de la perception du temps
  6. un sentiment de joie voir d’extase, un état de fierté et de satisfaction dans l’accomplissement de la tâche (expérience qualifiée d’autoélique)
La psychologue Kendra Cherry mentionne 3 autres composantes faisant partie de cette expérience.
  1. Les réussites et difficultés au cours du processus sont immédiatement repérées et le comportement ajusté.
  2. sentiment de potentielle réussite
  3. Sentiment d’une expérience tellement passionnante que les autres besoins semblent négligeables.
Ces caractéristiques peuvent être présentes indépendamment les unes des autres, mais seule la combinaison de plusieurs d’entre elles permet de constituer une véritable expérience de Flow.

 

◊ Les conditions de l’apparition du Flow

Ce sont les circonstances et  les antécédents psychosociaux pouvant faciliter l’apparition du Flow.
  • L’activité doit comporter des objectifs clairs et une progression, ce qui donne une direction et une structure à la tâche.
  • La tâche doit comporter un feedback (retour sur ce qui est accompli) clair et immédiat, ce qui aide à s’adapter aux exigences changeantes et à ajuster sa performance afin de maintenir l’état de flux.
  • Un bon équilibre entre les défis perçus et ses compétences perçues doit être présent.
Dans le flow les émotions sont au service de la performance et de l’apprentissage. Les émotions sont non seulement contenues et canalisées mais aussi en parfaite harmonie avec la tâche à effectuer.
Heutte & Fenouillet (2010) retiennent qu’il y aurait 4 dimensions du Flow :
– Flow D1 : Sentiment de maîtrise/contrôle de l’activité – Absorption cognitive – On sait que l’activité est faisable, que les compétences sont en adéquation, il n’y a ni anxiété ni ennui (Csikszentmihalyi, 2004)
– Flow D2 : Perception altérée du temps – Hors de temps – Concentration totale sur le présent, on ne voit pas le temps passer (Csikszentmihalyi, 2004)
– Flow D3 : Absence de préoccupation à propos du soi – Dilatation du moi – Perte de la conscience de soi – Sentiment de sérénité – Pas de préoccupations à propos de soi-même, impression de sortir au-delà des limites de l’ego – après coup, sentiment d’avoir transcendé l’ego à tel point qu’on ne croyait pas cela possible (Csikszentmihalyi, 2004)
 Flow D4 : Sentiment de bien-être – Activité autotélique – Motivation intrinsèque – Ce qui produit le « Flow » devient une récompense en soi – Sentiment d’extase – Impression d’être en dehors de la réalité quotidienne (Csikszentmihalyi, 2004)

 

Le diagramme du Flow :

 

Diagramme du flow
Graphique montrant différente zone selon le niveau de défi (bas, moyen, haut) en fonction du niveau de compétence (bas, moyen, haut)
⇒Vous êtes anxieux, lorsque l’activité est difficile et que vos capacités sont faibles. Si ce sentiment est excessif, cela génère des angoisses qui peuvent devenir handicapantes.
⇒Vous êtes dans la zone d’apathie, lorsque l’activité n’engage pas de compétences parce qu’elle est facile. Rester devant la télévision, consulter Facebook, cette passivité vous laisse tout le temps de cerveau disponible pour s’inquiéter et consommer.
⇒Vous vous ennuyez, lorsque l’activité est trop facile par rapport à vos compétences. Le désintérêt provoque lassitude et démotivation.
⇒Vous êtes dans le flow, lorsque la difficulté est en adéquation avec vos capacités et que cela représente un défi stimulant que vous pouvez concrétiser. Elle est une expérience qui nous anime parce qu’elle favorise la croissance personnelle.

 

« Le bonheur est une condition qui doit être préparée, cultivée et défendue en privé par chaque personne. C’est un processus actif. »Mihaly Csikszentmihalyi

 

◊ Quelques domaines d’application du Flow  

 

♦ Le sport

 

sprinter sur le départ très concentré flow
Photo William Stitt via Unsplash
Cet état psychologique optimal (concept d’être dans la”zone”) survient lorsque l’athlète perçoit ses compétences personnelles comme égales au défi fixé, et simultanément suffisamment élevées pour être motivantes (Jackson & Csikszentmihalyi, 1999). Par exemple dans le cadre d’une compétition où les adversaires sont jugés comme étant de niveau égal ou légèrement supérieur.
Le Flow est ressenti lorsqu’un athlète est complètement immergé dans la réalisation de sa performance (Jackson & Roberts, 1992). Il peut être ressenti quel que soit le niveau sportif et n’est pas réservé aux sportifs de haut niveau (Csikszentmihalyi, 1992 ; Stein, Kimiecik, Daniels & Jackson, 1995).
En compétition, il semble plus probable de ressentir le Flow lorsque les mouvements se déclenchent de manière automatique et à un niveau exceptionnel (en référence au niveau personnel de l’athlète) (Ericsson, 1996). Le sportif vit alors un état de fonctionnement optimal.
Qu’il soit appelé Flow ou pic de performance cet état de fonctionnement optimal survient immédiatement avant et pendant l’action (Singer, 2002). C’est donc un état vers lequel tendent les athlètes de haut niveau car il semble que la recherche de l’atteinte de l’état de Flow de manière régulière soit un élément favorisant la maîtrise d’une action complexe (Jackson, 1992). En effet, en état de Flow, le sportif semble pouvoir réaliser sa performance dans des conditions extrêmement favorables regroupant par exemple la concentration, l’automatisation des gestes, le plaisir, la sensation d’équilibre entre le défi et ses habiletés. Jackson et Csikszentmihalyi (1999) montrent que l’expérience du Flow est très enrichissante et que certains athlètes cherchent à la prolonger afin de rester à un niveau de performance très élevé.
Le légendaire joueur de football Pelé décrit son expérience d’« être dans la zone » ainsi : “J’ai ressenti comme un étrange calme… une sorte d’euphorie. J’ai eu l’impression de pouvoir courir une journée entière sans fatigue, de pouvoir dribbler à travers toutes leurs équipes ou à travers tous, que je pouvais presque leur passer à travers physiquement.” ( “Finding the zone” de Laurence shainberg, The New York Times Magazine 1989)

 

♦ L’éducation

jeune fille cherchant un livre flow
Photo de Clay Banks via unsplash
Un nombre grandissant de recherches s’intéressent à l’étude du Flow en contexte éducatif, par exemple pour étudier :
  • le soutien à l’autonomie et à la motivation intrinsèque dans l’enseignement primaire (Turner, Taylor, Bennett & Fitzgerald, 1998),
  • la motivation des élèves de collèges (Rathunde & Csikszentmihalyi, 2005)
  • ou encore l’impact des pédagogies actives (basées sur des activités collectives) dans des lycées (Peterson & Miller, 2004) ou dans des universités (Shernoff, Csikszentmihalyi, Schneider & Shernoff, 2003).
Les psychologues et les pédagogues doivent pouvoir assister et aider les élèves à se trouver le plus souvent dans cet état de flow. Ils devront aussi orienter l’élève afin qu’il puisse acquérir les ingrédients pour expérimenter le flow.
Par ailleurs, On a decouvert que si les enseignants qui connaissent le flow sont souvent débordants d’activité, ne comptant jamais leurs heures, toujours prêts à innover ou s’impliquer dans un nouveau projet, c’est tout simplement parce qu’ils cherchent en permanence n’importe quelle occasion de recréer les conditions qui vont leur permettre de ressentir le flow à nouveau. Comme ils ont une meilleure santé émotionnelle (Amherdt, 2004), ils sont dans des dispositions qui les rendent souvent beaucoup plus créatifs que leurs collègues. Ils innovent parfois sans même s’en rendre compte, presque malgré eux.
Selon Csikszentmihalyi (2006), l’engagement dans un processus créatif donne la sensation de vivre plus intensément, permet de ressentir un « sentiment de plénitude que nous attendons de la vie et qui nous est si peu souvent offert. Seuls la sexualité, les sports, la musique et l’extase religieuse […] nous confèrent un sentiment aussi profond d’appartenance à un tout plus vaste que nous-mêmes. »
♣La notion d’individu autotélique 
L’Autotélisme est un mot composé de deux racines grecques « autós » (« soi-même ») et « télos » (« but ») et signifiant « qui s’accomplit par lui-même ».
Selon Csikszentmihalyi (2005), l’individu autotélique n’a pas un grand besoin de possession, de distractions, de confort, de pouvoir ou de célébrité parce que presque tout ce qu’il fait l’enrichit intérieurement.
Comme il expérimente le flow dans son travail, sa vie familiale, ses relations avec les autres, dans des activités banales de la vie quotidienne et même quand il est seul et inactif, il est moins dépendant des récompenses extérieures qui motivent les autres à se satisfaire d’un quotidien routinier, vide de sens.
Il est plus autonome, plus indépendant, parce qu’on ne le manipule pas facilement à coup de menaces ou de récompenses extérieures. En même temps, il est plus impliqué dans tout ce qui l’entoure parce qu’il est pleinement investi dans le courant de la vie.
Son énergie psychique paraît inépuisable, il est plus attentif, remarque plus de détails, s’intéresse volontiers à quelque chose sans en attendre de récompense immédiate. Il a une attitude joyeuse de curiosité, une volonté de comprendre, de résoudre des problèmes. Mais il a aussi un intérêt désintéressé : son attention est dénuée d’ambition et d’objectifs personnels pour forcer la chance d’appréhender la réalité selon ses propres termes.
Comme il est moins préoccupé par lui-même, il investit plus d’énergie psychique dans son rapport à la vie. Les individus créatifs sont généralement autotéliques et c’est parce qu’ils disposent d’un surplus d’énergie psychique à investir dans des choses apparemment triviales qu’ils font des découvertes.
Ces individus se régalent du savoir, de la connaissance, et surtout de la compréhension et peut-être encore davantage, du partage et de la construction de connaissances avec d’autres.

♦ Le travail

 

Photo Rawpixel via Unsplash
Bakker (2005) définit le Flow au travail (« Flow at Work ») comme étant une succession de courtes périodes d’expériences optimales caractérisées par :
  • l’absorption ;
  • le plaisir dans le travail ;
  • une motivation intrinsèque dans le travail.
L’absorption fait ici référence à un état de concentration total dans lequel se trouvent les personnes durant leur travail. Pendant ces périodes, le temps suspend son vol, ils oublient totalement tout ce qui peut se trouver autour d’eux si cela qui n’a pas de relation étroite et directe avec l’action en cours (Salanova, Bakker & Llorens, 2006).
Voici une histoire extraite du livre « Mieux vivre en maîtrisant votre énergie psychique » de Mihály Csíkszentmihályi
« Il y a des années, mes étudiants et moi avons enquêté dans une usine d’assemblage de pièces détachées pour automobiles. L’essentiel de l’activité avait pour cadre un énorme hangar sale et si bruyant qu’il fallait hurler pour s’entendre. La plupart des soudeurs qui travaillaient dans ce hangar détestaient leur boulot et passaient leur temps à regarder leur montre, impatients de voir leur journée se terminer. Un seul faisait exception: Joe. La soixantaine, très peu instruit, Joe s’était exercé tout seul à comprendre et à réparer l’ensemble du matériel existant dans l’usine, depuis les grues jusqu’aux moniteurs électroniques. Il adorait ausculter les machines défectueuses, trouver la panne et la réparer. Avec sa femme, il avait construit, sur deux terrains proches de leur maison, un grand jardin de rocaille où il avait installé des fontaines à brouillard qui produisaient des arc-en-ciel même la nuit. Tous les collègues de Joe, une bonne centaine, le respectaient, même s’ils ne le comprenaient pas toujours. Ils sollicitaient son aide au moindre problème et beaucoup disaient même que sans lui l’usine aurait probablement dû fermer. »

♦ La musique

 

Guitariste flow
Photo de Alf Victor Williamsen
Les musiciens, et plus spécialement les solistes lors d’une improvisation, peuvent expérimenter un état similaire lorsqu’ils jouent de leur instrument. Cet état singulier permet une performance optimale à l’inverse de la sensation d’anxiété de performance.
Jarett, un pianiste, exprime de la manière la plus juste l’état de flow lors d’un concert.
« Mais dans ce concert, absolument tout, le timing, la structure d’ensemble de la prestation, la structure de chaque pièce, sa durée, sa fin, tout m’a été comme dicté… Je n’avais rien à faire d’autre que laisser mes doigts courir sur le clavier : la musique s’est donnée d’elle-même ». (Jazz magazine dec 2011, n°632)
Pour Loehr (1986), Jackson, Csikszentmihalyi (1999), « cet état s’exprime chez des personnes qui ont appris à créer cet état de conscience et à le maintenir de façon intentionnelle afin que leurs talents puissent se réaliser pleinement » (Ouellette, 2012).

 

♦ Religion et spiritualité

Csikszentmihalyi  qu’il reconnaît n’est pas le premier à décrire le concept de flow ou à en développer des applications.
Les pratiquants de religions orientales, comme le bouddhisme et le taoïsme, ont placé la discipline de dépassement de la dualité entre objet et sujet au centre du développement spirituel. Ils ont développé un ensemble vaste et détaillé de théories pour surmonter cette opposition, ils ont testé et affiné leur pratique de pensée spirituelle à cette fin, à l’opposé de la science moderne occidentale dont la rigueur est fondé sur une distinction rigoureuse entre l’objet et l’expérimentateur.
Kendo flow
Photo d’Arthur Yao
La phrase « ne faire qu’un avec ses pensées » est une métaphore du concept de flow. Les pratiquants du bouddhisme zen appliquent des principes similaires au flow pour maîtriser leur art, en particulier l’aikido, le kendo.

 

Les sentiments que chacun éprouve à propos de lui-même et la joie que chacun tire de la vie dépendent en fin de compte des filtres de l’esprit, des interprétations que chacun fait de ce qui lui arrive quotidiennement. Le bonheur de l’individu repose sur son harmonie intérieure, non sur l’influence qu’il est possible d’exercer sur les forces de l’univers. La maîtrise de l’environnement est un impératif parce que notre survie physique peut en dépendre. Cependant, cette maîtrise n’ajoutera pas un iota à l’estime que se porte l’individu et ne réduira en rien son chaos intérieur. Pour cela, les humains doivent apprendre à maîtriser leur conscience elle-même. Mihaly Csikszentmihalyi

Conclusion : 

Toutes les activités peuvent se préter à l’expérience du Flow pourvu qu’elles demandent un effort.
Pour expérimenter le Flow dans une activité que vous appréciez vous pouvez vous poser les questions suivantes :
  • ai-je posé un objectif clair et donné une direction et une structure à la tâche ? deux méthodes peuvent vous permettre d’y parvenir.
⇒La méthode S.M.A.R.T. pour un objectif :
  • Spécifique
  • Mesurable
  • Atteignable
  • Réaliste
  • Délimité dans le Temps
⇒les 6 questions clés de la  détermination d’objectifs en pnl 
  • Que veux-tu?
  • Est-ce que cela dépend de toi?
  • Comment sauras-tu que tu as atteint ton objectif? Que verras-tu, qu’entendras-tu?
  • Qu’est-ce que ça va t’apporter d’encore plus important ?
  • Y-a-il des inconvénients?
  • Y a t’il des obstacles ?
 
  • Puis-je faire en sorte d’avoir un feedback (retour sur ce qui est accompli ) clair et immédiat  afin de m‘adapter aux exigences changeantes et à ajuster ma performance ?
    Ce feedback est important car il permet de savoir si nous progressons dans le défi et ainsi de maintenir l’effort pour plus de satisfaction.
  • ai-je bien evalué mes compétences au regard du défi que je vise ?

 

Il ne suffit pas de savoir comment faire, il faut le faire comme les musiciens et les athlètes qui doivent pratiquer constamment, ce qui est long et exigeant. –Mihaly Csikszentmihalyi
Pour en savoir plus voici la conférence ted du fondateur du concept de flow.
Cependant, pour acquérir la maîtrise de la qualité de l’expérience, il faut apprendre à trouver la joie à partir de ce qui arrive quotidiennement. Chacun est l’artisan de son bonheur, de sa qualité de vie à travers le contrôle de son expérience consciente, la possibilité qu’il se donne de vivre des expériences optimales. – Csikszentmihalyi
Sources :

 

Bibliographie

Flow de Mihaly Csikszentmihalyi - Psychologie positive

flow vivre la psychologie du bonheur
flow mieux vivre en maitrisant son energie psychiqe

 

 

 

liens
Si cet article vous a plu, partagez !
  • 10
    Partages

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.