L’ESTIME DE SOI

S’aimer pour mieux vivre avec les autres

couverture du livre l'estime de soi de christophe andré et françois lelord

Quatrième de couverture :

Lorsque l’on ne s’estime pas, on est rarement heureux. On doute de soi, on ne fait pas toujours les bons choix, on se sent vulnérable dans l’adversité. Pour autant, rien n’est irrémédiable. Ce livre vous permet d’établir votre bilan personnel. Il vous offre toutes les clés pour comprendre comment l’estime de soi se construit dès l’enfance, se développe à l’adolescence, puis influence de manière déterminante votre vie sentimentale, conjugale, professionnelle. Il propose enfin des solutions concrètes pour vous aider à vivre en meilleure harmonie avec vous-même… et avec les autres.
Christophe André et François Lelord sont psychiatres, psychothérapeutes et consultants en entreprise.

 

 

 

Les auteurs :

  • Christophe André, né en 1956 à Montpellier,  est médecin psychiatre à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris. Il est l’auteur de nombreux livres qui sont d’immenses succès, dont le best-seller international “Imparfaits, libres et heureux”.
  • François Lelord, né en 1953, est un psychiatre français. Il intervient à Bangkok en tant que psychiatre pour la fondation Alain Carpentier. Il est auteur de nombreux livres comme son grand succès : « Le voyage d’Hector ou la recherche du bonheur » (Odile Jacob, 2004).

Extrait de l’introduction :

«Je ne m’aime pas…
«Enfant, je rêvais souvent d’être une autre personne. Je n’aimais pas ce que j’étais, ce que j’avais : j’aurais voulu avoir d’autres cheveux, d’autres parents, vivre dans un autre endroit. Il me semblait toujours que les autres enfants étaient mieux que moi : plus beaux, plus doués, plus populaires, plus aimés des professeurs.
«Je savais bien qu’il y avait pire. Quand – rarement – je me confiais à ma mère, c’est ce qu’elle tentait de me dire : tu n’es pas la plus malheureuse, ni la plus mal dotée. Mais ce n’était pas une consolation pour moi. D’ailleurs, lorsque je me sentais triste, ce qui m’arrivait souvent, je n’y croyais même plus : j’étais alors persuadée d’être la personne la plus nulle du genre humain.
«Mon adolescence a été terrible. J’étais régulièrement convaincue de ma laideur, de ma difformité physique. J’avais tous les complexes de la terre.
«Les choses se sont un peu arrangées depuis. Mais aujourd’hui encore, lorsqu’un homme tombe amoureux de moi, je pense qu’il y a erreur. Je me dis qu’il se trompe sur mon compte, qu’il est amoureux d’une image, que je suis parvenue par miracle à donner le change ; mais qu’il ne peut pas être amoureux de moi, de ce que je suis vraiment. Et si cet homme me plaît, une peur affreuse m’envahit aussitôt : si nous avions une liaison, il ne tarderait pas à s’apercevoir de l’imposture, à découvrir tous mes défauts. Et nul doute alors qu’il ne me juge comme je me juge. Il m’abandonnerait.

L’estime de soi se répare et s’entretient :  c’est le grand message de ces deux psychiatres. Pour communiquer avec les autres, il faut se reconnaître et s’accepter. Un livre nourri des connaissances nouvelles de la neurologie.

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